LE CHEVAL D'ORGUEIL

Réalisation de Claude Chabrol.
D'après l'œuvre de Pierre-Jakez Hélias.
Adaptation et dialogues de Daniel Boulanger.
Durée 1h53. Sortie le 24 septembre 1980.
Avec Jacques Dufilho, François Cluzet, Dominque Lavanant, Michel Blanc…
• Sources Wikipédia. La vie rurale dans le pays Bigouden, en Bretagne sud au début du XXème siècle jusqu’à la fin de la Première guerre mondiale. Les paysans n’ont pour seule préoccupation que survivre à la misère, dans laquelle ils sont plongés. Pierre-Alain rencontre Anne-Marie ; il est valet de ferme et s’occupe particulièrement des chevaux. Leur mariage est une parenthèse de trois jours, avant de retrouver leur pauvreté.
Un fils va naître : Pierre-Jacques dit « Petit Pierre », qui va être élevé par son grand-père Alain. Il apprendra que c’est l’orgueil que l’on monte quand on n’a pas de cheval.
À l'origine, Claude Chabrol travaillait à un projet de film sur les paysans creusois au début du XXème siècle.
La lecture du best-seller de Pierre-Jakez Hélias le décida à changer la localisation et l’histoire. Le livre dépeint la Bretagne rurale du début du XXème siècle, dans les années qui précèdent la Première Guerre Mondiale . L’adaptation, confiée à Daniel Boulanger, se concentre sur la partie autobiographique et raconte l’histoire de Pierre. Le film fut mal accueilli par la critique à sa sortie ; il est très rarement diffusé à la télévision. Le plus grand regret de Chabrol concernant ce film est de ne pas avoir eu l’audace de le tourner en breton. Il est vrai que le fait d’avoir tourné en français l’a obligé à certaines contorsions (voir la scène quand le petit Pierre rechigne à apprendre le français à l’école). Cependant ce film demeure une adaptation fidèle de l’œuvre de Pierre-Jakez Hélias et une peinture passionnante d’une région à forte identité. "Ce film est dédié au pays Bigouden" est la dédicace qui figure au début du Cheval d'Orgueil.
D'après l'œuvre de Pierre-Jakez Hélias.
Adaptation et dialogues de Daniel Boulanger.
Durée 1h53. Sortie le 24 septembre 1980.
Avec Jacques Dufilho, François Cluzet, Dominque Lavanant, Michel Blanc…
• Sources Wikipédia. La vie rurale dans le pays Bigouden, en Bretagne sud au début du XXème siècle jusqu’à la fin de la Première guerre mondiale. Les paysans n’ont pour seule préoccupation que survivre à la misère, dans laquelle ils sont plongés. Pierre-Alain rencontre Anne-Marie ; il est valet de ferme et s’occupe particulièrement des chevaux. Leur mariage est une parenthèse de trois jours, avant de retrouver leur pauvreté.
Un fils va naître : Pierre-Jacques dit « Petit Pierre », qui va être élevé par son grand-père Alain. Il apprendra que c’est l’orgueil que l’on monte quand on n’a pas de cheval.
À l'origine, Claude Chabrol travaillait à un projet de film sur les paysans creusois au début du XXème siècle.
La lecture du best-seller de Pierre-Jakez Hélias le décida à changer la localisation et l’histoire. Le livre dépeint la Bretagne rurale du début du XXème siècle, dans les années qui précèdent la Première Guerre Mondiale . L’adaptation, confiée à Daniel Boulanger, se concentre sur la partie autobiographique et raconte l’histoire de Pierre. Le film fut mal accueilli par la critique à sa sortie ; il est très rarement diffusé à la télévision. Le plus grand regret de Chabrol concernant ce film est de ne pas avoir eu l’audace de le tourner en breton. Il est vrai que le fait d’avoir tourné en français l’a obligé à certaines contorsions (voir la scène quand le petit Pierre rechigne à apprendre le français à l’école). Cependant ce film demeure une adaptation fidèle de l’œuvre de Pierre-Jakez Hélias et une peinture passionnante d’une région à forte identité. "Ce film est dédié au pays Bigouden" est la dédicace qui figure au début du Cheval d'Orgueil.
PIERRE-JAKEZ HELIAS ET LE CHEVAL D'ORGUEIL - Le regard d'un enfant, l'oeil d'un peintre

de Mannaïg Thomas.
Format 195x245mm. 370 pages.
Emgleo Breizh. Mai 2010.
ISBN 978-2-35974-009-7
Prix : 26,27 €
Piou, e-touez ar vrezonegerien, n'anavez ket Per-Jakez Helias ? Eur pez leor, hag eur pez oberenn eo Marh al Lorh. Pez na ouezer ket marteze eo n'eus ket bet kalz a studiou diwar e benn. Setu unan avad hag a daol sklêrijenn war oberenn veur Bigouter ar bed-oll : gand Mannaig Thomas eo bet analizet an darempred etre mod-skriva Helias hag al livaduriou meur deuz Breiz. Ar goulou, al liviou, ar c'hoant da ziskouez traou zo… Kompren a reer gwelloh pegen heñvel e hell beza eul liver hag eur skrivagner.
Pierre-Jakez Hélias est l’auteur incontournable de la littérature bretonne, son Cheval d’Orgueil fait figure de monument. Paradoxalement, très peu d’études approfondies lui ont été consacrées à ce jour. Un manque que Mannaïg Thomas s’est employée à combler, en rendant du même coup hommage à l’intellectuel et à l’artiste que fut Hélias : elle a choisi d’étudier le Cheval d’Orgueil comme œuvre offerte au regard, construite comme un tableau. Et l’on comprend mieux pourquoi l’œuvre touche, bien au-delà des souvenirs d’enfant ou du tableau d’une société en pleine transformation.
Format 195x245mm. 370 pages.
Emgleo Breizh. Mai 2010.
ISBN 978-2-35974-009-7
Prix : 26,27 €
Piou, e-touez ar vrezonegerien, n'anavez ket Per-Jakez Helias ? Eur pez leor, hag eur pez oberenn eo Marh al Lorh. Pez na ouezer ket marteze eo n'eus ket bet kalz a studiou diwar e benn. Setu unan avad hag a daol sklêrijenn war oberenn veur Bigouter ar bed-oll : gand Mannaig Thomas eo bet analizet an darempred etre mod-skriva Helias hag al livaduriou meur deuz Breiz. Ar goulou, al liviou, ar c'hoant da ziskouez traou zo… Kompren a reer gwelloh pegen heñvel e hell beza eul liver hag eur skrivagner.
Pierre-Jakez Hélias est l’auteur incontournable de la littérature bretonne, son Cheval d’Orgueil fait figure de monument. Paradoxalement, très peu d’études approfondies lui ont été consacrées à ce jour. Un manque que Mannaïg Thomas s’est employée à combler, en rendant du même coup hommage à l’intellectuel et à l’artiste que fut Hélias : elle a choisi d’étudier le Cheval d’Orgueil comme œuvre offerte au regard, construite comme un tableau. Et l’on comprend mieux pourquoi l’œuvre touche, bien au-delà des souvenirs d’enfant ou du tableau d’une société en pleine transformation.